Utopy
Utopy 2019 réunit Grenache Blanc, Roussanne et Vermentino, élevés sur lies pendant 11 mois dans un foudre (immense tonneau) de plus de 120 ans. La rondeur et la générosité laissent place à la fraîcheur et à un parfum de fruits secs et de pain grillé. La finale évolue sur une touche anisée et de jolis amers. Un vin biodynamique et naturel tout en élégance, à accompagner d’un risotto aux fruits de mer ou d’un tartare de saumon !
14,90€
État : 6 en stock
-
vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
Utopy 2019 réunit Grenache Blanc, Roussanne et Vermentino, élevés sur lies pendant 11 mois dans un foudre (immense tonneau) de plus de 120 ans. La rondeur et la générosité laissent place à la fraîcheur et à un parfum de fruits secs et de pain grillé. La finale évolue sur une touche anisée et de jolis amers. Un vin biodynamique et naturel tout en élégance, à accompagner d’un risotto aux fruits de mer ou d’un tartare de saumon !
risotto aux fruits de mer, tartare de poisson. Idée recette
jusqu'à 5 ans
10 - 12°C
ouvrir 30 minutes avant de servir
Cuisine du Dimanche
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Vivien Hemelsdael du Clos des Jarres tient à ce que ses vignes s’expriment à travers les vins qu’il produit. Des vins biodynamiques, naturels, sans intrants, avec très peu de sulfites ajoutés. Vins non collés et non filtrés.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Vivien est originaire de Seine et Marne. Ses parents, agriculteurs, cultivaient des céréales sur une petite exploitation, jusqu’au jour où ils décidèrent de déménager dans le Sud et d’acheter une maison de village sur la commune de Laure-Minervois. Là, ils cultiveront du raisin et deviendront coopérateurs.
Vivien lui, suit la voie du vin. Il se forme en Alsace, avec un BP viti-oeno. Il a été frappé par le contraste entre ce qu’on lui apprenait en cours (une approche chimique, avec tous les produits œnologiques, les enzymes, les levures et compagnie ) et ce qu’il a découvert en stage dans un domaine en biodynamie. “Et donc là, on laisse le jus et on n’y touche plus ?!” C’était un peu le grand écart.