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Les maoù

A la rencontre d'Aurélie & Vincent

Bienvenue chez Aurélie et Vincent Garreta !

Avant les Maoù

les maoù

« Maoù », c’est le surnom qu’ils se donnent avec Aurélie. A l’origine, me dit Vincent, ils ne viennent pas du milieu vigneron (même si sa grand-mère était viticultrice, on en reparlera plus tard).

Vincent était dans la recherche environnementale. « Tu sais comment ça se passe dans le milieu, on nous enlève des moyens. Au bout d’un moment, je m’y retrouvais plus, j’avais besoin de changement ».
Aurélie, elle, était factrice. Tous les deux partageaient la même passion pour le vin nature. Ils ont commencé à fréquenter des salons, à rencontrer du monde.

Devenir vigneron nature dans le Luberon

Vincent est passionné. Il habite son métier d’agriculteur, se pose beaucoup de questions, cherche à comprendre, l’importance du sol, les pratiques qui évoluent au fil des générations.  Il évoque sa grand-mère, la dureté du métier. Elle ne voulait pas que ses enfants, petits enfants, suivent le même chemin. C’est trop dur. Mais elle a fini par comprendre la décision de son petit fils, sa passion, son approche. Vincent est réfléchi, nuancé, il analyse beaucoup, on retrouve, dans son discours, le « scientifique ». 

« L’approche du vin naturel, au départ, elle est esthétique. Quand on boit un vin nature, on ne s’ennuie pas. » Ou plutôt devrais-je dire « quand on sent ». Vincent et très sensible à l’odorat, c’est le sens qui lui procure le plus de plaisir.

Ensuite, c’est toute la démarche qu’il y a derrière. Être acteur du changement. Se poser les bonnes questions. Il faut bien entendu que la démarche soit collective. Vincent y croit, il est positif. Il évoque ses préoccupations pour ses enfants, petits enfants. Le dérèglement climatique, la sécheresse, la grêle. 
Quelle attitude adopter ? Quelles actions mettre en place pour avoir un domaine pérenne et rentable à la fois, sans irriguer, sans utiliser de traitements ?

Le rôle du sol dans la vigueur de la vigne

Le sol pâtit de la sécheresse : celle-ci bloque la minéralisation des nutriments qui nourrissent la vigne. Aujourd’hui les « gros » nous pointent du doigt, en disant « regardez comme ils galèrent ».  Eux, ils irriguent, ils utilisent des engrais chimiques, qui nourrissent la vigne. Dans ce schéma, le sol n’a effectivement plus aucun rôle à jouerIl est mort.

Or dans la logique des vins naturels, le sol joue un rôle primordial dans la santé et la vigueur de la vigne. Pour qu’il « travaille », il faut veiller à ce qu’il soit un peu humide, frais, aéré.

Alors on plante des couverts végétaux entre les rangs, en choisissant ceux qui vont amener et fixer l’azote. Ensuite, au printemps, on détruit ces couverts pour les enfouir dans le sol. Une façon de stocker du carbone.
« L’objectif, plus tard, ce serait d’en détruire une partie seulement.  On s’inspire de grands vignerons qui ont l’expérience et le recul suffisant, comme Didier Barral« , ponte de la biodynamie et des vins nature à Faugères.

Les vins naturels des Maoù : frais et gorgés de fruits

Côté vins, le couple recherche la précision, la droiture, ils chassent les goûts de souris, et si nécessaire, ajoutent un tout petit peu de soufre à la mise en bouteille. Vinification sans intrants, bien entendu, levures indigènes et le minimum de manipulation possible.

Résultat : les vins d’Aurélie et Vincent sont gorgés de fruits, de fraîcheur, avec de beaux équilibres. Des vins naturels accessibles, juteux, que tu bois avec plaisir, avec ou sans soif, à découvrir par ici :

<h6>Les Maoù</h6>

Les maoù

A la rencontre d'Aurélie & Vincent

Bienvenue chez Aurélie et Vincent Garreta !

Avant les Maoù

les maoù

« Maoù », c’est le surnom qu’ils se donnent avec Aurélie. A l’origine, me dit Vincent, ils ne viennent pas du milieu vigneron (même si sa grand-mère était viticultrice, on en reparlera plus tard).

Vincent était dans la recherche environnementale. « Tu sais comment ça se passe dans le milieu, on nous enlève des moyens. Au bout d’un moment, je m’y retrouvais plus, j’avais besoin de changement ».
Aurélie, elle, était factrice. Tous les deux partageaient la même passion pour le vin nature. Ils ont commencé à fréquenter des salons, à rencontrer du monde.

Devenir vigneron nature dans le Luberon

Vincent est passionné. Il habite son métier d’agriculteur, se pose beaucoup de questions, cherche à comprendre, l’importance du sol, les pratiques qui évoluent au fil des générations.  Il évoque sa grand-mère, la dureté du métier. Elle ne voulait pas que ses enfants, petits enfants, suivent le même chemin. C’est trop dur. Mais elle a fini par comprendre la décision de son petit fils, sa passion, son approche. Vincent est réfléchi, nuancé, il analyse beaucoup, on retrouve, dans son discours, le « scientifique ». 

« L’approche du vin naturel, au départ, elle est esthétique. Quand on boit un vin nature, on ne s’ennuie pas. » Ou plutôt devrais-je dire « quand on sent ». Vincent et très sensible à l’odorat, c’est le sens qui lui procure le plus de plaisir.

Ensuite, c’est toute la démarche qu’il y a derrière. Être acteur du changement. Se poser les bonnes questions. Il faut bien entendu que la démarche soit collective. Vincent y croit, il est positif. Il évoque ses préoccupations pour ses enfants, petits enfants. Le dérèglement climatique, la sécheresse, la grêle. 
Quelle attitude adopter ? Quelles actions mettre en place pour avoir un domaine pérenne et rentable à la fois, sans irriguer, sans utiliser de traitements ?

Le rôle du sol dans la vigueur de la vigne

Le sol pâtit de la sécheresse : celle-ci bloque la minéralisation des nutriments qui nourrissent la vigne. Aujourd’hui les « gros » nous pointent du doigt, en disant « regardez comme ils galèrent ».  Eux, ils irriguent, ils utilisent des engrais chimiques, qui nourrissent la vigne. Dans ce schéma, le sol n’a effectivement plus aucun rôle à jouerIl est mort.

Or dans la logique des vins naturels, le sol joue un rôle primordial dans la santé et la vigueur de la vigne. Pour qu’il « travaille », il faut veiller à ce qu’il soit un peu humide, frais, aéré.

Alors on plante des couverts végétaux entre les rangs, en choisissant ceux qui vont amener et fixer l’azote. Ensuite, au printemps, on détruit ces couverts pour les enfouir dans le sol. Une façon de stocker du carbone.
« L’objectif, plus tard, ce serait d’en détruire une partie seulement.  On s’inspire de grands vignerons qui ont l’expérience et le recul suffisant, comme Didier Barral« , ponte de la biodynamie et des vins nature à Faugères.

Les vins naturels des Maoù : frais et gorgés de fruits

Côté vins, le couple recherche la précision, la droiture, ils chassent les goûts de souris, et si nécessaire, ajoutent un tout petit peu de soufre à la mise en bouteille. Vinification sans intrants, bien entendu, levures indigènes et le minimum de manipulation possible.

Résultat : les vins d’Aurélie et Vincent sont gorgés de fruits, de fraîcheur, avec de beaux équilibres. Des vins naturels accessibles, juteux, que tu bois avec plaisir, avec ou sans soif, à découvrir par ici :

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<a style="font-size:medium;text-decoration-line: underline;text-decoration-color: #21ff21;color: black;" href="2375">JE PARS A SA RENCONTRE</a>

 

Les Maoù
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