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Domaine de l’Affût

Bienvenue chez Isabelle Pangault

Du bois au fût de chêne

Nous sommes à Sassay, au Domaine de l’Affût, en Sologne viticole. Isabelle Pangault a grandi à quelques kilomètre de là.
Au départ rien ne la prédestinait à devenir vigneronne. Ses parents étaient forestiers. Elle s’oriente donc naturellement vers un BTS en gestion forestière et obtient un diplôme d’ingénieur agronome. Après ses études, Isabelle a soif de voyages. Elle part en Argentine, travailler quelques mois pour une coopérative d’éleveurs de lamas. Elle s’y sent bien, si bien qu’elle n’a pas vraiment envie de rentrer. Elle s’est promis que pour son prochain voyage, elle pousserait le dépaysement beaucoup plus loin.

Isabelle-Pangault

De retour en France, c’est par le biais de la barrique qu’Isabelle s’intéresse au vin. Son père l’emmène à une dégustation destinée à mesurer l’impact du bois sur un même vin. Le constat  est simple : d’une barrique à l’autre, le vin change de goût, de texture, de volume. Cette approche sensorielle du vin la séduit. C’est une révélation !

S'ouvrir à divers horizons

Une fois son Diplôme National d’Oenologie en poche, elle ira faire ses armes à Bordeaux, chez Mouton Rotschild, en Inde, où elle vinifiera au sein de la 2ème entreprise vinicole du pays (dépaysement obtenu), dans la Vallée du Rhône, chez Yves Cuilleron, puis à Carcassonne, au sein de l’Union de Caves Coopératives.  Dix années à appréhender « les mondes du vin », avec différents rôles, différentes approches. « Avant, j’étais un maillon de la chaîne. Aujourd’hui je maîtrise tout de A à Z, je suis dans un processus créatif permanent ». Une liberté que notre néo-vigneronne savoure.

La naissance du Domaine de l'Affût

Domaine de l'affut

Au départ, elle visait les terroirs de Cheverny, Cour Cheverny. Revenir sur les terres de son enfance. Se rapprocher de sa famille. Faire en sorte que ses enfants grandissent aux côtés de leurs grands-parents, comme elle petite.  Elle a finalement l’opportunité de reprendre un domaine de 14 ha à quelques kilomètres de là, sur la commune de Sassay. La jeune vigneronne a un coup de coeur pour ce lieu, les vignes, la forêt, des mares ici et là. Et surtout, depuis ce dôme, on peut observer la faune et la flore à 360 degrés. On est « à l’affût ». Un nom rempli de sens. Il évoque des souvenirs d’enfance avec son grand-père. « J’adorais aller me promener en forêt, guetter les animaux ». Aujourd’hui vigneronne, elle observe méticuleusement ses sols, la météo, la santé de ses plantes. Et puis, étymologiquement, « affût » est un dérivé de « fust », le tronc d’arbre.

Comprendre son terroir pour l'exprimer au mieux à travers ses vins

Isabelle est une fonceuse. Déménager. Trouver des parcelles, un bébé aux bras. Se lancer à son compte, en même temps que son mari. Et tout reconstruire. C’est le début d’une grande aventure, nous sommes en 2017.

domaine de l'affut vignes

D’abord, comprendre le terroir et son environnement. L’exposition au vent permet de sécher l’humidité et limite les risques de maladies. Les haies et la forêt apportent de la fraîcheur. Les sols de sable sur argile confèrent aux vins un grain particulièrement fin. Autant d’atouts qu’il faudra révéler, sublimer à travers les vins.
Côté cépages, Isabelle prône l’ampélodiversité. Ici, des gamays centenaires. Là bas, cabernet sauvignon, côt, pinot noir, chardonnay, sauvignon blanc, chenin et menu pineau (petit cousin du chenin, aussi appelé « orbois »). Elle compte également planter des cépages anciens et locaux comme le romorantin et le pineau d’Aunis.

Aller au-delà de l'agriculture biologique

Isabelle a entamé une conversion vers l’agriculture biologique. Retrouver des équilibres naturels à la vigne, ça prend du temps. Elle aimerait planter des légumineuses et autres engrais verts entre les rangs  et progressivement se tourner vers la biodynamie. Préserver et enrichir la biodiversité, c’est l’une de ses priorités.

Côté vinification, les intrants de synthèse sont bannis. Son objectif : intervenir le moins possible pour laisser la singularité du terroir s’exprimer. Lorsqu’on pénètre dans la cave, Isabelle m’explique ses projets de restructuration. Remplacer les grandes cuves béton qui occupent de l’espace, par de plus petits contenants. ça prendra du temps.
Pour l’élevage, elle utilise des fûts, « soit des petits, qui ont déjà connu plusieurs vins, soit des grands. Je ne veux en aucun cas marquer les vins ». Elle a aussi recours à des jarres en argile, originaires de toscane. Ces jarres sont cuites à haute température. Les pores sont plus resserrées, on réduit ainsi le contact avec l’oxygène.

Goûtez au talent d’Isabelle Pangault, du Domaine de l’Affût. Ses vins bientôt disponibles sur Des Racines Au Verre.

<h6>Domaine de l'Affût</h6>

Domaine de l’Affût

Bienvenue chez Isabelle Pangault

Du bois au fût de chêne

Nous sommes à Sassay, au Domaine de l'Affût, en Sologne viticole. Isabelle Pangault a grandi à quelques kilomètre de là.
Au départ rien ne la prédestinait à devenir vigneronne. Ses parents étaient forestiers. Elle s’oriente donc naturellement vers un BTS en gestion forestière et obtient un diplôme d’ingénieur agronome. Après ses études, Isabelle a soif de voyages. Elle part en Argentine, travailler quelques mois pour une coopérative d’éleveurs de lamas. Elle s’y sent bien, si bien qu’elle n’a pas vraiment envie de rentrer. Elle s’est promis que pour son prochain voyage, elle pousserait le dépaysement beaucoup plus loin.

Isabelle-Pangault

De retour en France, c’est par le biais de la barrique qu’Isabelle s’intéresse au vin. Son père l’emmène à une dégustation destinée à mesurer l’impact du bois sur un même vin. Le constat  est simple : d’une barrique à l’autre, le vin change de goût, de texture, de volume. Cette approche sensorielle du vin la séduit. C’est une révélation !

S'ouvrir à divers horizons

Une fois son Diplôme National d’Oenologie en poche, elle ira faire ses armes à Bordeaux, chez Mouton Rotschild, en Inde, où elle vinifiera au sein de la 2ème entreprise vinicole du pays (dépaysement obtenu), dans la Vallée du Rhône, chez Yves Cuilleron, puis à Carcassonne, au sein de l’Union de Caves Coopératives.  Dix années à appréhender « les mondes du vin », avec différents rôles, différentes approches. « Avant, j’étais un maillon de la chaîne. Aujourd’hui je maîtrise tout de A à Z, je suis dans un processus créatif permanent ». Une liberté que notre néo-vigneronne savoure.

La naissance du Domaine de l'Affût

Domaine de l'affut

Au départ, elle visait les terroirs de Cheverny, Cour Cheverny. Revenir sur les terres de son enfance. Se rapprocher de sa famille. Faire en sorte que ses enfants grandissent aux côtés de leurs grands-parents, comme elle petite.  Elle a finalement l’opportunité de reprendre un domaine de 14 ha à quelques kilomètres de là, sur la commune de Sassay. La jeune vigneronne a un coup de coeur pour ce lieu, les vignes, la forêt, des mares ici et là. Et surtout, depuis ce dôme, on peut observer la faune et la flore à 360 degrés. On est « à l’affût ». Un nom rempli de sens. Il évoque des souvenirs d’enfance avec son grand-père. « J’adorais aller me promener en forêt, guetter les animaux ». Aujourd’hui vigneronne, elle observe méticuleusement ses sols, la météo, la santé de ses plantes. Et puis, étymologiquement, « affût » est un dérivé de « fust », le tronc d’arbre.

Comprendre son terroir pour l'exprimer au mieux à travers ses vins

Isabelle est une fonceuse. Déménager. Trouver des parcelles, un bébé aux bras. Se lancer à son compte, en même temps que son mari. Et tout reconstruire. C’est le début d’une grande aventure, nous sommes en 2017.

domaine de l'affut vignes

D’abord, comprendre le terroir et son environnement. L’exposition au vent permet de sécher l’humidité et limite les risques de maladies. Les haies et la forêt apportent de la fraîcheur. Les sols de sable sur argile confèrent aux vins un grain particulièrement fin. Autant d’atouts qu’il faudra révéler, sublimer à travers les vins.
Côté cépages, Isabelle prône l'ampélodiversité. Ici, des gamays centenaires. Là bas, cabernet sauvignon, côt, pinot noir, chardonnay, sauvignon blanc, chenin et menu pineau (petit cousin du chenin, aussi appelé « orbois »). Elle compte également planter des cépages anciens et locaux comme le romorantin et le pineau d’Aunis.

Aller au-delà de l'agriculture biologique

Isabelle a entamé une conversion vers l’agriculture biologique. Retrouver des équilibres naturels à la vigne, ça prend du temps. Elle aimerait planter des légumineuses et autres engrais verts entre les rangs  et progressivement se tourner vers la biodynamie. Préserver et enrichir la biodiversité, c’est l’une de ses priorités.

Côté vinification, les intrants de synthèse sont bannis. Son objectif : intervenir le moins possible pour laisser la singularité du terroir s’exprimer. Lorsqu’on pénètre dans la cave, Isabelle m’explique ses projets de restructuration. Remplacer les grandes cuves béton qui occupent de l’espace, par de plus petits contenants. ça prendra du temps.
Pour l’élevage, elle utilise des fûts, « soit des petits, qui ont déjà connu plusieurs vins, soit des grands. Je ne veux en aucun cas marquer les vins ». Elle a aussi recours à des jarres en argile, originaires de toscane. Ces jarres sont cuites à haute température. Les pores sont plus resserrées, on réduit ainsi le contact avec l’oxygène.

Goûtez au talent d’Isabelle Pangault, du Domaine de l'Affût. Ses vins bientôt disponibles sur Des Racines Au Verre.

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