1826 – Le Serret
Le Serret est un hommage à la 1° parcelle du domaine plantée par le grand-père de Justine en 1955…1826, c’est la date d’installation de la famille Vigne à Richerenches.Un hommage à l’histoire donc, avec ce parcellaire 100% carignan. 60% du vin a macéré dans des jarres en terre cuite (qvevri). 40% a été vinifié en cuve puis élevé 8 mois en fût de chêne. Le Serret est profond, structuré, sa matière envoûtante et son grain déjà fin. Quelle belle complexité pour ce vin naturel que vous pourrez garder 10 ans (ou plus, dans des conditions optimales) en cave.
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vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
Le Serret est un hommage à la 1° parcelle du domaine plantée par le grand-père de Justine en 1955…1826, c’est la date d’installation de la famille Vigne à Richerenches.Un hommage à l’histoire donc, avec ce parcellaire 100% carignan. 60% du vin a macéré dans des jarres en terre cuite (qvevri). 40% a été vinifié en cuve puis élevé 8 mois en fût de chêne. Le Serret est profond, structuré, sa matière envoûtante et son grain déjà fin. Quelle belle complexité pour ce vin naturel que vous pourrez garder 10 ans (ou plus, dans des conditions optimales) en cave.
Gigot d’agneau, magret de canard au épices douces. Idée recette
10 ou plus (dans de bonnes conditions)
16°C
2 heures avant de servir
Cuisine du Dimanche, Donne-moi ta main
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Justine Vigne s’attache à travailler de la façon la plus naturelle possible. Vignoble non irrigué, culture biologique et biodynamique en cours de certification, travail en traction animale. Pas d’intrants dans les vins et peu ou pas de sulfites ajoutés (ici, 10 mg/l).
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
La première fois que j’ai vu Justine Vigne, c’était à la télé. Un documentaire sur France 5 « Retour à la terre ». J’étais admirative face à son parcours. Fille et petite fille d’agriculteurs, née à Richerenches, au milieu des vignes, des chênes truffiers, des lavandes et du maraîchage, Justine a d’abord pris le chemin de l’art.
Elle a pas mal voyagé avant de rentrer chez elle, dans le Vaucluse, où elle redécouvrira, au fil de rencontres, une agriculture paysanne humaniste. Cette approche lui rappelle des souvenirs d’enfance, chez ses grands-parents ardéchois.
Justine brûle d’envie d’associer ses deux passions, « l’art » et le « vivant ». Alors quoi de mieux que de créer son propre domaine pour laisser s’exprimer son énergie créative ?