Cruelles 2020
Cruelles, c’est une dominante de Cinsault, sur terroirs calcaires, et du Grenache, sur un terroir de grès. Au nez, la finesse se dessine. Imagine un magnifique bouquet de fleurs. En bouche, la fraîcheur, d’abord, avec une trame minérale, puis la rondeur, la caresse des tanins soyeux, la gourmandise d’un yaourt aux fruits rouges et une finale poivrée, pour encore plus de sapidité.
On craque pour ce délicieux vin naturel de Ludovic Engelvin.
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vignerons
engagés -
vins
sains -
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flexible
Cruelles, c’est une dominante de Cinsault, sur terroirs calcaires, et du Grenache, sur un terroir de grès. Au nez, la finesse se dessine. Imagine un magnifique bouquet de fleurs. En bouche, la fraîcheur, d’abord, avec une trame minérale, puis la rondeur, la caresse des tanins soyeux, la gourmandise d’un yaourt aux fruits rouges et une finale poivrée, pour encore plus de sapidité.
On craque pour ce délicieux vin naturel de Ludovic Engelvin.
volailles, quiches, plats terre-mer. Idée recette
jusqu'à 5 ans
16°C
1 heure avant de servir
A la bonne franquette, Cuisine du Dimanche
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Ludovic Engelvin, talentueux vigneron installé dans le Gard, élabore des vins naturels et biodynamiques. Respect des sols et vinifications naturelles, sans intrants oenologiques. Seule une dose minimale de sulfites peut être ajoutée à la mise en bouteille, si besoin.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Ludovic Engelvin est installé à Vic-Le-Fesq, dans le Gard, à l’Ouest de Nîmes. On est le 1er octobre 2020. Ce jour là, le ciel est gris et épais. Ludovic me reçoit dans sa cave, une ancienne magnanerie en argile bleue du 12ème siècle. Ici, à l’abri de la lumière du jour, on est un peu coupés du monde. On discute, sans se rendre compte du temps qui passe.
« Je suis parti de zéro. Je ne viens pas d’une famille vigneronne ni d’une famille où l’on buvait du vin. » Alors pourquoi cette orientation ? « L’école ne m’intéressait pas. J’ai été élevé chez ma grand-mère. Elle avait un beau potager. Dès l’âge de 8 ans, je baignais là-dedans. On mangeait des kakis, des coings, des fruits pas très communs à cet âge-là. »