Maison Valette, c’est l’histoire de Cécile et de Philippe Valette.

Philippe Valette représente la troisième génération de vignerons. Son papa, Gérard, lui a donné la moitié de ses vignes. Des vignes de Chardonnay, situées dans le Sud de la Bourgogne, sur les terroirs de Mâcon-Chaintré, Pouilly-Fuissé et Pouilly-Vinzelles, entre autres.

Philippe s’installe en 1992 et décide de sortir de la cave coopérative.  Il suit l’approche « agronomique de paysans » qu’avait son père, précise Cécile, son épouse. A l’époque « on se méfiait des drogues qu’ils essayaient de vendre, on ne voulait pas de produits avec une tête de mort dessus. En 92, on parlait à peine de bio, c’était plutôt du bon sens paysan ».

Côté vinification, je demande à Cécile s’ils ont toujours travaillé selon la même philosophie.
« On a démarré avec du soufre sur le pressoir. Puis il suffit de mettre le nez sur un bidon de soufre pour te convaincre de réduire. On diminuait chaque année les doses, petit à petit, jusqu’à ce qu’un jour, notre oenologue nous a dit « à ce stade, si t’en mets pas c’est pareil ». »

En 2000, Philippe et Cécile décident donc d’arrêter de soufrer leurs vins. Un pari risqué, on est sur un fil. « On doit être surs de ses raisins et de soi-même. Faire ça avec des convictions. Si c’est pour ne pas en dormir la nuit ce n’est pas la peine. »

A la dégustation, c’est le coup de coeur. Le couple produit tout simplement de grands vins. Des vins de terroir, des vins d’émotions, empreints de pureté et de finesse.

C’est donc avec une grande joie que je te propose les vins vivants de Maison Valette en Bourgogne.