Domaine Antoine Lienhardt
Vin naturel de Bourgogne
Bienvenue chez Antoine Lienhardt, Ã Comblanchien
une histoire de transmission
Antoine Lienhardt a la chance d’avoir récupéré en 2011 cinq hectares de vignes de son grand-père, Maurice Guyot.
Après son cursus, Antoine s’est formé à Chablis, en Afrique du Sud, avant de décider de revenir aux sources.
On est à Comblanchien, sur la côte de Nuits, entre Dijon et Beaune.
Amoureux de la nature, Antoine a converti l’ensemble du domaine en agriculture biologique, doublée de pratiques biodynamiques.
Très cartésien, Antoine est devenu convaincu de cette approche par le biais de lectures, de rencontres, de dégustations. ça donne une énergie en plus au vin. Un argument concret a motivé ce choix : « la cristallisation sensible (méthode permettant de montrer une image du vivant et des énergies) et la plus rayonnante sur les vins en biodynamie » (extrait de la vidéo de Jus de la Vigne, disponible sur le site du domaine)
Casser la monoculture
Vu le prix du foncier en Bourgogne, la plantation d’arbres a malheureusement été délaissée.Â
La monoculture, monotone, Antoine veut la casser. Les arbres, ça crée des zones d’ombre, très appréciable quand tu dois travailler sous forte chaleur.Â
Puis c’est beau et ça a du sens. Les pêchers de vigne et les amandiers sont des essences que l’on trouvait beaucoup sur la Côte de Nuits.Â
Côté traitements, seuls le soufre et le cuivre sont tolérés, en plus des tisanes et infusions utilisées pour stimuler le système immunitaire de la vigne.
La recherche de vins vivants purs et soyeux
Les vinifications naturelles se font en vendanges entières, par gravité.
Côté élevage, Antoine affectionne particulièrement les jarres en grés et les cuves béton. Pour lui, ça ramène une texture soyeuse, tout en préservant l’intégrité du fruit, du raisin. Le résultat est pur.
Le vigneron produit des vins qu’il aime boire, c’est à dire gorgé de fruits et paré de velours. La texture, c’est très important pour lui. Ce n’est pas évident de réussir à tous les coups, sans doute que l’élevage peut permettre d’y arriver.
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