Metonymia
Metonymia, de Patricia et Rémi Bonneton, c’est la rencontre, la fusion de plusieurs cépages parmi lesquels viognier, chardonnay, grenache blanc et muscat. Tous macèrent pendant une semaine, avant d’être élevés en tinajas (amphores espagnoles), en foudres et en demi-muids. On obtient un vin orange naturel à l’expression volubile. Le zeste d’orange, la fleur d’oranger, le volume, la fraîcheur, mais aussi les tanins, bien présents. Un vrai délice qui se mariera parfaitement avec une cuisine asiatique.
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vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
Metonymia, de Patricia et Rémi Bonneton, c’est la rencontre, la fusion de plusieurs cépages parmi lesquels viognier, chardonnay, grenache blanc et muscat. Tous macèrent pendant une semaine, avant d’être élevés en tinajas (amphores espagnoles), en foudres et en demi-muids. On obtient un vin orange naturel à l’expression volubile. Le zeste d’orange, la fleur d’oranger, le volume, la fraîcheur, mais aussi les tanins, bien présents. Un vrai délice qui se mariera parfaitement avec une cuisine asiatique.
cuisine asiatique et exotique : salade thaï aux crevettes, bo bun, canard à l’orange. Idée recette
jusqu'à 5 ans
14°C (pas trop frais au risque de "durcir" les tanins)
30 minutes avant de servir
Cuisine du Dimanche, Donne-moi ta main
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Via la Tangente, structure de négoce de Patricia et Rémi Bonneton, le couple achète des raisins à des copains vignerons qui partagent la même philosophie (agriculture bio a minima). Le plus souvent, ils vendangent eux-mêmes leur récolte et réalisent, chez eux, des vinifications on ne peut plus naturelles. Zéro intrant et zéro sulfite ajouté.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Tandis que Rémi teste sa nouvelle chenillette dans les vignes, Patricia m’ouvre les portes de sa maison. La gentillesse transparaît sur son visage. Autour d’un café, elle m’explique comment ils en sont arrivés là.
Patricia a vécu 7 ans à Madrid. Son rêve, c’était de percer dans l’art et de vivre à la campagne, dans une hacienda bordée d’oliviers. Mais la réalité du terrain est tout autre. Elle cumule des tas de jobs différents, vendeuse pour une boutique de vêtements, chasseuse de tête pour un grand groupe américain, puis responsable marketing pour une boîte qui vendait des volailles.
Son temps libre, elle le dédiait au dessin. Elle raconte ses soirées à La Latina où elle allait « croquer » à 2 heures du mat’, une fois les touristes partis, dans de petites salles où les gitans continuaient de chanter et de danser.