Maccabeu
On peut dire que le cépage catalan s’est plu dans les Corbières, plus précisément chez les Ledogar, avec une interprétation tout en élégance et en finesse. Ample, suave, minéral, le Maccabeu est frais et tout simplement délicieux. Des fruits blancs, des fleurs, un peu de vanille. A déguster en de multiples circonstances, de l’apéritif à un repas fin du Dimanche.
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vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
On peut dire que le cépage catalan s’est plu dans les Corbières, plus précisément chez les Ledogar, avec une interprétation tout en élégance et en finesse. Ample, suave, minéral, le Maccabeu est frais et tout simplement délicieux. Des fruits blancs, des fleurs, un peu de vanille. A déguster en de multiples circonstances, de l’apéritif à un repas fin du Dimanche.
gambas à la plancha, poisson en marinade, risotto aux légumes. Idée recette
jusqu'à 5 ans
10 - 12°C
30 minutes avant de servir
A la bonne franquette, Cuisine du Dimanche
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Les frères Ledogar s’attèlent à travailler de la façon la plus saine et naturelle possible, de la vigne à la vinification. Traitements naturels dans les vignes (tisanes), pas d’intrants œnologiques et peu ou pas de sulfites ajoutés dans les vins.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Ça chante quand il parle Xavier. C’est chaleureux. On est tout de suite projetés dans le Sud, plus précisément dans les Corbières, sur la commune de Ferrals Les Corbières.
La famille Ledogar, c’est 5 générations de vignerons. L’arrière grand-père était l’un des fondateurs de la cave coopérative. Son père, viticulteur, a suivi cette dynamique. Même si au fond il aurait eu envie de faire son propre vin, dans la pratique ce n’était pas si simple de se défaire de la coop’.
Xavier n’a jamais trop aimé l’école. Parfois, pour le punir, son père le faisait travailler dans la vigne. “C’était en fait un cadeau qu’il me faisait, j’adorais ça !“. Le jour de son bac scientifique, Xavier ne s’est pas présenté. Il connaissait le chemin qu’il voulait suivre, c’était ancré en lui. De 1993 à 1998, il travaillera avec son père, avec la coopérative, et dès qu’il a pu, il a pris son indépendance. “Moi récolter des raisins, ça m’intéressait pas, je voulais faire mon vin.”